mercredi 27 juin 2007

Les titres Gaz de France et Suez recherchés après les rumeurs de fusion imminente

Selon Le Figaro, le gouvernement aurait finalement choisi de donner son feu vert au rapprochement entre Suez et Gaz de France. Mais la ministre de l'Economie Christine Lagarde a affirmé que "toutes les options sont à l'étude" et qu'aucune décision n'avait été prise.

Les titres Gaz de France et Suez affichent les plus fortes hausses du CAC 40 ce mercredi en Bourse. A l'ouverture, l'action Gaz de France progresse de 2,12% à 36,55 euros et Suez gagne 1,08% à 41,75 euros, alors que l'indice CAC 40 poursuit sa correction et perd encore 0,66%. Le dossier de rapprochement entre Suez et Gaz de France s'accélère, croit savoir Le Figaro dans son édition de mercredi. Selon le quotidien, la fusion entre les deux groupes est de nouveau sur les rails et pourrait être annoncée très prochainement. Si tel est le cas, le gouvernement tiendrait son calendrier initial.

Toutefois la ministre de l'Economie Christine Lagarde a affirmé en fin de matinée à propos du projet de fusion de Suez et de Gaz de France que "toutes les options sont à l'étude" et qu'aucune décision n'avait été prise.

Reste à trouver le schéma de fusion. Or, selon les informations du Figaro, rien n'est encore arrêté. Il s'agit de résoudre le problème d'écart des valorisations. Car la parité envisagée à l'origine (une action Gaz de France + un euro de dividende exceptionnel contre une action Suez) est rendue caduque par l'écart de plus en plus important entre les cours de Bourse des deux sociétés.

La piste suivie est celle d'une scission de certains actifs de Suez afin d'amaigrir le groupe, et notamment pour la partie environnement. Mais Gérard Mestrallet, patron de Suez, s'est toujours opposé catégoriquement à une scission de la branche Environnement. D'autres schémas sont donc à l'étude comme la scission de certains actifs énergétiques de Suez, comme Distrigaz en Belgique ou Agbar en Espagne, couplée avec un dividende exceptionnel afin d'ajuster les valorisations.

Mais Le Figaro précise que Suez peut jeter à tout moment l'éponge s'il juge que ses intérêts ne sont pas préservés.


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Axel Springer rachète auFeminin.com

Le groupe allemand Axel Springer a racheté la part des trois fondateurs, soit 41,4% des actions, du portail internet auFéminin.com. Fondé en 1999, auFeminin.com est valorisé 288 millions d'euros.

Le groupe allemand Axel Springer a annoncé mardi soir l'acquisition de 41,4% des parts du portail féminin auFeminin.com et le lancement d'une offre publique d'achat sur le solde du capital, coté à la Bourse de Paris au prix de 32 euros par titre.

Selon le communiqué, l'offre d'Axel Springer valorise la société pour 288 millions d'euros. Selon les termes de l'accord, 27,4% sera réglé en numéraire aux trois fondateurs pour un montant de 78 millions d'euros et 14,3% seront apportés à une société allemande qui sera contrôlée par Axel Springer.

Fondée en 1999, auFeminin.com s'est imposée comme le leader des portails Internet consacré aux femmes en Europe, numéro un en France, en Allemagne, en Italie, en Espagne, en Belgique et en Suisse, et numéro deux au Royaume-Uni. Avec des portails Internet présents dans huit pays, auFeminin.com propose un large éventail d'informations en ligne, de services et de forums autour de sujets tels que la mode et les tendances, la beauté, la forme, la santé et la psychologie. auFéminin.com a réalisé en 2006 un chiffre d'affaires de 13,4 millions (+54% sur le précédant) pour un résultat d'exploitation de 7,3 millions (+79%).

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ProSiebenSat.1 rachète SBS Broadcasting pour 3,3 milliards d'euros

Le paysage audiovisuel européen voit naitre un nouveau géant. En rachetant SBS Broadcasting, ProSiebenSat.1 crée un concurrent direct de RTL Group, premier télédiffuseur européen et propriété du groupe de médias allemand Bertelsmann.

Comme prévu lors du rachat de ProSiebenSat.1 par les fonds KKR et Permira en décembre 2006, le paysage audiovisuel européen voit naitre un nouveau géant. ProSiebenSat.1 Media annonce ce mercredi l'achat de son concurrent SBS Broadcasting pour 3,3 milliards d'euros.

Ce rapprochement entre ces deux groupes, tous deux détenus majoritairement par les fonds de capital investissement KKR et Permira, créera un concurrent direct de RTL Group , premier télédiffuseur européen qui est propriété du groupe de médias allemand Bertelsmann. La transaction n'est pas subordonnée au feu vert des autorités de la concurrence ou de tutelle et elle doit être bouclée début juillet, précise ProSieben, ajoutant que les synergies escomptées sont de 80 à 90 millions d'euros par an.

SBS a réalisé un chiffre d'affaires de plus d'un milliard d'euros l'an passé et un Ebitda (résultat opérationnel) de 207 millions d'euros. Il a été acheté par Permira et KKR en 2005 pour 2,5 milliards de dollars ou 1,7 milliard d'euros.

La nouvelle entité conservera le nom ProSiebenSat.1 Media et sera basée à Munich. Ce nouveau poids lourd européen sera présent dans 13 pays européens, et comptera 24 chaînes de télévision gratuites, 24 chaînes de télévision payantes et 22 radios, selon le communiqué. Le groupe touchera plus de 77 millions de téléspectateurs et deviendra ainsi le numéro deux de la télévision dans l'Union européenne. "La transaction est un pas important pour le futur de ProSiebenSat.1", commente le patron du groupe allemand, Guillaume de Posch, cité dans le communiqué. SBS Broadcasting est un investissement pour la croissance", fait-il valoir.

Dans la foulée de cette transaction, ProSiebenSat.1 pourrait gagner un nouvel actionnaire. Le groupe néerlandais Telegraaf Media Groep, qui détient une part de 20% dans SBS Broadcasting, possède à présent une option pour investir dans le nouveau groupe. La naissance de ce nouveau concurrent tombe mal pour RTL, la principale vache à lait du groupe Bertelsmann, qui ne peut se permettre une baisse de ses marges.

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Oracle: les acquisitions dopent les résultats annuels

Le groupe de logiciels professionnels Oracle a accru son bénéfice au quatrième trimestre et sur l'ensemble de son exercice annuel, grâce notamment à ses multiples acquisitions. L'exercice en cours se présente sous des bons auspices.

Dans la course engagée pour rattraper son rival SAP, Oracle marque encore des points. Le groupe de logiciels professionnels Oracle a annoncé mardi après la clôture de Wall Street avoir accru son bénéfice au quatrième trimestre et sur l'ensemble de son exercice annuel. Et ce grâce notamment à ses multiples acquisitions réalisées depuis 2004.

Oracle a enregistré au quatrième trimestre de son exercice un bénéfice en hausse de 23% à 1,6 milliard de dollars, pour un chiffre d'affaires en hausse de 20% à 5,8 milliards selon le communiqué du groupe. Ce quatrième trimestre inclut les résultats du groupe de logiciels Hyperion Solutions, Racheté par Oracle pour environ 3,3 milliards de dollars en avril dernier. Le bénéfice par action ajusté ressort à 37 cents, supérieur aux attentes des analystes (35 cents prévu). Le bénéfice par action non ajusté est cependant inférieur aux attentes, à 31 cents. Sur l'ensemble de l'exercice, le bénéfice net a progressé de 26% à 4,3 milliards de dollars pour des ventes augmentées de 25% à 18 milliards.

"La stratégie d'Oracle de combiner innovation et acquisitions bat clairement la stratégie (du groupe allemand) de SAP de construire tout lui-même à partir d'un langage de programmation propriétaire datant des années 70", a lancé le président du groupe Charles Phillips, cité dans le communiqué.

Les ventes de nouveaux logiciels ont progressé de 17% sur un an à 2,5 milliards de dollars, alors que les analystes n'attendaient en moyenne qu'une hausse de 13-14%. "Cela a été un trimestre solide", commente Robert Schwartz, analyste chez Jefferies & Co, cité par l'Agence Reuters. Le directeur financier d'Oracle, Safra Catz, table sur une hausse de 20-30% des ventes de nouveaux logiciels pour le premier trimestre de l'exercice, plus du double par rapport au consensus des analystes.

Engagé dans une course pour rattraper son grand rival SAP, le leader mondial du secteur, Oracle poursuit activement sa politique de croissance externe. Le groupe américain a dépensé en acquisitions plus de 25 milliards de dollars depuis 2004. En décembre 2004, il a racheté son rival PeopleSoft pour 10,3 milliards de dollars. En 2005, il a raflé à SAP l'américain Rete (logiciels pour commerces) pour 630 millions de dollars, En 2006, il a acquis l'éditeur de progiciels Siebel Systems pour 5,9 milliards de dollars, ainsi que le suédois HotSip (logiciels pour réseaux télécoms). Entre 2005 et janvier 2007, il a aussi progressivement pris 83% du spécialiste indien des logiciels bancaires, Iflex Solutions, pour près de 1,8 milliard de dollars au total. Sans oublier ses deux gros rachats depuis le début 2007, Hyperion (pour 3,3 milliards de dollars) et Agile (495 millions de dollars).

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Télécom: le canadien Telus retire son offre pour le rachat de son compatriote BCE

Le numéro deux canadien des télécoms, Telus, s'est retiré de la course au rachat du géant canadien du secteur BCE (Bell Canada), en invoquant "les lacunes du processus de soumission" mis en place par ce dernier. Parmi cinq groupe en lice, Telus était considéré comme le favori

Le numéro deux canadien des télécoms, Telus, a annoncé mardi soir son retrait de la course au rachat du géant canadien du secteur BCE (Bell Canada), en invoquant "les lacunes du processus de soumission" mis en place par ce dernier. Telus "a décidé de ne pas soumettre d'offre pour acquérir BCE dans le cadre du processus d'examen stratégique annoncé par BCE le 17 avril", indique le communiqué du groupe basé à Vancouver.

Ce retrait constitue une surprise puisque Telus, qui était entré dans la danse jeudi dernier, faisait figure de favori pour le rachat de BCE parmi les cinq groupes en lice. Cette annonce a d'ailleurs fait plonger de 3% l'action de BCE à la Bourse de Toronto, à 39,49 dollars canadiens à la clôture.

Par ailleurs, deux quotidiens nationaux affirmaient mardi qu'un consortium figurant lui aussi parmi les favoris pour le rachat de BCE, composé notamment du fonds d'investissement américain Kohlberg Kravis Roberts (KKR), a perdu deux de ses membres clés. Le retrait de la Caisse de dépôt et placement du Québec, plus important investisseur institutionnel au Canada, et d'Onex, le plus grand fonds d'investissement privé du pays, priverait le consortium emmené par KKR et l'Office d'investissement du régime de pension du Canada (RPC) des capitaux nécessaires pour faire une offre, selon le Globe and Mail et le National Post. Dans un bref communiqué, la Caisse de dépôt et placement du Québec a confirmé "s'être retirée" du consortium.

Trois autres consortiums sont en lice. L'un est emmené par le fonds de pension canadien Teachers, qui est le plus important actionnaire de Bell Canada et qui a annoncé lundi qu'il présenterait une offre. Un autre est dirigé par le fonds d'investissement américain Cerberus Capital et, enfin, un dernier est conduit par la firme d'investissement canadienne Catalyst Asset.

Si BCE n'a jamais publiquement annoncé de date butoir, le géant canadien s'est donné jusqu'au troisième trimestre pour clore le processus d'examen de ses "options stratégiques". Les fonds américains KKR et Cerberus se sont alliés à des fonds canadiens pour se conformer à la loi canadienne limitant à 46,7% la participation étrangère dans le secteur des télécommunications au Canada. Numéro un canadien dans la téléphonie, BCE détient aussi des participations dans le quotidien national The Globe and Mail et dans plusieurs chaînes de télévision, dont CTV, ainsi que dans les équipes professionnelles de hockey et de basket-ball de Toronto, les Maple Leafs et les Raptors. La vente éventuelle de BCE pourrait devenir la plus grande transaction de l'histoire au Canada, le groupe étant valorisé en Bourse à quelque 30,5 milliards de dollars américain.

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samedi 23 juin 2007

Borsa Italiana OKs LSE's Takeover Bid

Saturday June 23, 7:51 am ET
By Colleen Barry, AP Business Writer

Borsa Italiana Approves $2.19 Billion All-Share Takeover Bid by London Stock Exchange MILAN, Italy (AP) -- The euro1.63 billion ($2.19 billion) all-share takeover of Borsa Italiana SpA by the London Stock Exchange PLC puts the exchanges in a position to realize their goal of becoming the world's primary exchange in a period of rapid consolidation of stock exchanges worldwide, the companies said in a joint statement Saturday.
Under the deal, the two exchanges will remain separate entities, reflecting the distinct market profiles, combined under one group with a value of euro5.77 billion ($7.76 billion), the companies said in a statement outlining terms of the deal.

The takeover "creates the leading diversified exchange group in Europe and the platform for additional strong growth on a European and global scale," the statement said.

Noting the rapid consolidation in the exchange landscape, the exchanges said they "intend to be at the forefront of these changes in order to grow more rapidly by extending its international strategy in the fast-evolving exchange industry environment."

The new group will change its name to reflect its international character, the statement said. It will be headed by current LSE Chief Executive Clara Furse, with Borsa Italiana CEO Massimo Capuano taking the deputy CEO role. The LSE will have seven directors on the board, and the Borsa Italiana five.

Under the deal, London Stock Exchange is offering 4.90 of its own shares for each Borsa Italiana share. The Milan exchange is unlisted and owned mainly by Italian banks.

Borsa Italiana had been examining a variety of options for joining the wave of consolidation in the last year, and board members met for two days this week in Milan to work out details of a deal.

Analysts said the move by the LSE appeared aimed at fending off another takeover attempt by Nasdaq. The London exchange has rebuffed five takeover attempts in two years, including a $5.3 billion bid from Nasdaq, which remains its largest shareholder.

NYSE's acquisition of Euronext, which operates exchanges in Paris, Amsterdam, Brussels and Lisbon, in April kicked off a wave of consolidation in the sector as established stock exchanges face increased competition for business. Nasdaq recently agreed to buy Nordic stock exchange operator OMX AB .

The LSE is considered the jewel of European exchanges, with more than 3,000 companies traded. The Borsa Italiana, with 322, is fourth in Europe for trading volume, behind Euronext, the LSE and Deutsche Boerse.

An Italian deal gives the LSE -- which is predominantly an equities trading market -- greater access to the European bond market. Borsa Italiana has exercised an option to buy NYSE Euronext's stake in their bond-trading joint venture

LSE also would get a business in derivatives, where it has struggled to get established.

vendredi 22 juin 2007

Pearson et General Electric renoncent à leur offre commune sur Dow Jones

Le groupe de presse britannique propriétaire du Financial Times abandonne l'idée de reprendre le groupe américain qui publie notamment le Wall Street Journal.

Le groupe d'édition scolaire Pearson et le conglomérat américain General Electric viennent d'annoncer qu'ils renonçaient à faire une contre-offre commune sur Dow Jones, l'éditeur du Wall Street Journal.

Pearson, numéro un mondial de l'édition dans le domaine de l'éducation et propriétaire du Financial Times, a indiqué dans un communiqué qu'il restait en contact avec General Electric, qui contrôle pour sa part la chaîne câblée financière CNBC, en vue d'éventuels accords de coopération. Le retrait de GE a été annoncé par CNBC.

L'opération envisagée suscitait le scepticisme, vu sa complexité. Le montant paraissait très élevé, puisque News Corp, le groupe du magnat australien Rupert Murdoch, propose 5 milliards de dollars pour Dow Jones. L'affaire aurait conduit à faire cohabiter dans le même groupe le Financial Times et le Wall Street Journal.

Propriétaire en France du journal Les Echos, Pearson a par ailleurs annoncé aujourd'hui avoir ouvert des négociations exclusives avec LVMH, propriétaire de La Tribune, pour le rachat des Echos.

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EADS dément la vente de sa participation dans Dassault

EADS n'étudie pas la vente de sa part dans Dassault, affirme Louis Gallois. Le Financial Times de ce vendredi avançait pourtant que le conseil d'administration d'EADS entamerait des discussions pour savoir si le groupe aéronautique devait vendre 46% de sa participation dans le fabricant de jets privé et du Rafale.

Le groupe européen EADS "n'étudie pas la vente de sa part dans Dassault", contrairement à une déclaration attribuée ce vendredi au co-président allemand Tom Enders par le Financial Times, a déclaré à l'AFP le co-président français du groupe, Louis Gallois. "Cette question n'est pas à l'ordre du jour du conseil d'administration d'EADS et une telle cession serait de toute façon soumise au feu vert de l'Etat français", a-t-il déclaré en marge du salon aéronautique du Bourget, au sujet de la participation de 46,3% d'EADS dans Dassault Aviation.

Pour enfoncer le clou, le groupe européen de défense et d'aéronautique a également publié un démenti indiquant que "Tom Enders et Louis Gallois, présidents exécutifs d'EADS, souhaitent préciser que la cession de la participation d'EADS dans Dassault Aviation n'est pas actuellement étudiée par le conseil d'administration d'EADS, ni à l'ordre du jour".

La vente des 46% que la maison-mère d'Airbus détient dans le capital du fabricant de jets était évaluée à 3,7 milliards d'euros. Ce qui aurait représenté une aubaine pour le groupe, qui peine en ce moment à financer ses programmes de développement.

Le président de Dassault Aviation, Charles Edelstenne, avait déclaré le 15 juin qu'une éventuelle cession par EADS de sa participation dans le groupe ne serait pas de nature à déstabiliser l'entreprise. "Il n'y a pas de signe donné par EADS qu'il souhaite vendre. S'ils voulaient vendre, nous regarderions à quel prix et si ça vaut la peine que nous achetions dans la mesure où aujourd'hui nous n'avons aucun risque. La société est contrôlée à plus de 50% (par la famille Dassault), ce qui fait que qui que ce soit qui achète, il ne pourra pas troubler le management", avait observé Charles Edelstenne.

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Nyse Euronext fait une offre de rachat à Borsa Italiana

Le plus gros opérateur boursier au monde, NYSE-Euronext, a fait, à son tour, une offre de rachat à la Bourse de Milan, alors que celle-ci est en train d'examiner la proposition du London Stock Exchange (LSE).

Après le LSE, c'est au tour de NYSE-Euronext de lancer une offre de rachat sur la Bourse de Milan, dont le montant est situé entre 1,5 et 2 milliards d'euros, selon des informations publiées par le Wall Street Journal ce vendredi. Le propriétaire de la Bourse de New York et de cinq places européennes se place désormais en rival du LSE, qui a fait une offre de rachat équivalente (1,6 milliard d'euros) à Borsa Italiana il y a quelques jours.

Pour faire pencher la balance en sa faveur, NYSE-Euronext compte sur son activité plus étendue et plus diversifiée que celle du LSE. De plus, le plus gros opérateur boursier du monde fait valoir son expérience dans l'absorption de nombreuses entités.

Alors que le conseil d'administration de Borsa Italiana est en train d'examiner l'offre du LSE, celle de NYSE-Euronext est encore à l'état d'ébauche. D'après une source proche du dossier, elle pourrait évoluer en fonction de l'intérêt de la Bourse italienne.


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Borsa Italiana Board Considers LSE Offer

Borsa Italiana Board Meets Again to Discuss Possible LSE Merger MILAN, Italy (AP) -- The board of the Borsa Italiana met for a second day Friday to discuss a possible takeover by the London Stock Exchange Group PLC.

A Borsa Italiana spokesman refused to comment on a report in The Wall Street Journal that the Milan-based exchange was also considering a rival offer from NYSE Euronext, the owner of the New York Stock Exchange and several European exchanges, saying that the only offer on the table was from London.

Euronext Paris spokeswoman Antoinette Darpy also would not comment Friday.

Details of any bid have not been released, but Citigroup analysts said Borsa Italiana could cost 1.7 billion euros ($2.3 billion) or more.

Analysts said the move by the LSE appeared aimed at fending off another takeover attempt by the Nasdaq Stock Market Inc. The London exchange has rebuffed five takeover attempts in two years, including a 2.7 billion pound ($5.3 billion) bid from Nasdaq, which remains its largest shareholder.

Stock markets across the globe have been the subject of merger discussions following pressure to cut costs and reduce transaction lags.

The Borsa Italiana has been examining a variety of options over the last year, and was a catalyst behind a move to create a federal model of European stock markets that was scuttled by the NYSE's acquisition of European exchange operator Euronext.

The LSE is considered the jewel of European exchanges, with more than 3,000 companies traded. The Borsa Italiana, with around 322, is fourth in Europe for trading volume.

Board members for the Borsa Italiana made favorable comments about the offer on their way into a meeting on Thursday, but indicated they expected action would come toward the end of the year.

LSE shares rose 1 percent to 1,366 pence ($27.21) on Friday. The Borsa Italiana is not publicly traded.

(This version CORRECTS SUBS 2-3 graph to correct that Darpy a spokeswoman for Euronext Paris, not spokesman for Borsa Italiana.)


Coca-Cola: Glaceau Unit to Run Powerade

By Harry R. Weber, AP Business Writer

Coca-Cola: Recently Acquired Glaceau Water Unit Will Oversee Powerade Sports Drink ATLANTA (AP) -- The Coca-Cola Co., the world's largest beverage maker, is putting its sports drink brand and newly acquired enhanced water brands under the same management team.

An internal memo released by the Atlanta-based company Thursday said that, effective immediately, management of Coke's Powerade brand will be the responsibility of its Glaceau business unit.

Coca-Cola completed its $4.1 billion purchase of Glaceau, maker of Vitaminwater, earlier this month.

The memo from Sandy Douglas, the head of Coca-Cola's North America unit, said giving Glaceau management responsibility for Powerade will create a "singular management focus" that will allow both units to grow more rapidly.

"This will allow us to serve our customers and consumers more effectively while challenging our competitors more aggressively," Douglas said.

Douglas said the Glaceau team will work with Coke's still beverages business unit, as well as its customer and bottler teams, in developing strategies for Powerade while also exploring new opportunities.

He said the current members of the Powerade team will continue in their roles for the next several months to assist in the transition. They will be given the opportunity to join the Glaceau team in New York or seek other opportunities with Coca-Cola North America in Atlanta, Douglas said.

Coca-Cola's purchase of Glaceau, also known as Energy Brands, was Coke's largest acquisition ever.

Carbonated drink makers are trying to expand their product offerings to juice and other non-carbonated beverages to meet shifting consumer tastes.

Mitel Will Not Increase Inter-Tel Offer

Inter-Tel Says Mitel Will Not Raise Its Acquisition Offer TEMPE, Ariz. (AP) --
Communications software maker Inter-Tel Inc. said Friday Mitel Networks Corp. will not increase its $691 million acquisition offer.

Inter-Tel agreed in April to be purchased by a subsidiary of the privately held communications company, with shareholders receiving $25.60 per share in cash.

Mitel Chief Executive Don Smith said in a letter to Inter-Tel that it is denying the company's request to raise its offer, saying it does not see a reason to boost what it considers an already fully valued bid.

Mitel said its offer is the only firm bid received and that Inter-Tel has failed to find a superior offer during a 24-month process that included the hiring Bear Stearns and UBS.

"The market is consolidating and in the absence of a more favorable merger offer, Inter-Tel may be left out, with a leveraged balance sheet, unable to effectively compete against larger, well capitalized entrants," the letter stated.

Inter-Tel shares fell 12 cents to $25.35 in morning trading.

Questions or comments about this story should be directed to AP Financial News at 212-621-7190.

CME urges CBOT members to vote in favor of merger

NEW YORK (Reuters) - Chicago Mercantile Exchange Holdings Inc. (NYSE:CME - News) on Friday urged shareholders and members of the Chicago Board of Trade to vote in favor of CME's offer to take over CBOT, the No. 2 U.S. futures exchange.
The pitch is the latest development in an ongoing battle between CME and upstart energy exchange IntercontinentalExchange Inc. (NYSE:ICE - News) for control of Chicago Board of Trade parent CBOT Holdings Inc. (NYSE:BOT - News).

ICE has been pursuing a hostile bid for CBOT since March. On Thursday, it sent a letter to CBOT members and shareholders urging them to vote against the CME-CBOT merger.

CME issued its response in the form of a letter on Friday, saying that a CME-CBOT merger would add significantly more value than the ICE offer, as well as immediate growth prospects with the lowest risk.

The exchange also said the merged entity would trade more than 10 million contracts a day, making it the world's largest derivatives exchange. The merger would create an entity with a market capitalization of about $30 billion.

On July 9, CBOT shareholders will decide whether to accept CME's bid, worth roughly $10.2 billion based on current share values and about $1.3 billion lower than ICE's bid.

CME said its takeover would provide many benefits to member shareholders, including costs savings for member firms and large direct-access customers of at least $70 million annually from trading floor and trading platform consolidation, CME said.

CME recently upped its bid for CBOT, following a sweetened bid from ICE.

ICE's sweetened offer came after the U.S. Department of Justice gave CME and CBOT the go-ahead for the merger.

Separately, ICE said on Friday it is acquiring the Winnipeg Commodity Exchange, Canada's commodity derivatives exchange.

jeudi 21 juin 2007

Le gestionnaire Nuveen racheté pour 5,75 milliards de dollars

Il est repris par un groupe d'investisseurs mené par la société de capital-investissement Madison Dearborn Partners.

Le groupe américain de gestion de fonds et de gestion de fortune Nuveen Investments (166 milliards de dollars d'actifs sous gestion) a annoncé ce mercredi avoir accepté une offre de rachat de 5,75 milliards de dollars soit 4,3 milliards d'euros). Elle provient d'un groupe d'investisseurs mené par la société de capital-investissement Madison Dearborn Partners.

L'accord valorise Nuveen 65 dollars par action, soit une prime de 20% sur le cours de clôture de mardi (54,16 dollars). Les acquéreurs reprendront en outre 550 millions de dollars de dettes. Au premier trimestre, Nuveen a enregistré un bénéfice de 52,3 millions de dollars, en hausse de 17% et un chiffre d'affaires de 196,8 millions, en progression de 23%.

Le rachat devrait être effectif d'ici la fin de l'année mais Nuveen pourra solliciter de meilleures offres jusqu'au 19 juillet. Il dit d'ailleurs avoir bien l'intention de le faire avec l'aide de la banque d'affaires américaine Goldman Sachs.

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Thaksin Shinawatra s'offre le club de football de Manchester City

L'ancien Premier ministre thaïlandais Thaksin Shinawatra, va racheter le club anglais de Manchester City. Le montant de la transaction s'élève à 82 millions de livres (122 millions d'euros).

Après avoir longtemps résisté aux offres de Thaksin Shinawatra, les dirigeants de Manchester City ont finalement accepté ce mercredi une OPA de la société UK Sports Investments, contrôlée par l'ancien Premier ministre thaïlandais. Le montant de la transaction s'élève à 82 millions de livres (122 millions d'euros), dont 60 millions consacrés au rachat de la dette du club. Manchester City devient ainsi le huitième club de la première division de football anglaise (Premiership) a être racheté par un investisseur étranger.

Cette nouvelle transaction fait suite aux nombreux rachats qui ont marqué le football professionnel britannique depuis l'arrivée fracassante du milliardaire russe Roman Abramovich à Chelsea en juillet 2003. Le club de Manchester United, le plus riche du monde, a ainsi été racheté par l'Américain Malcom Glazer pour plus d'un milliard d'euros, Liverpool est tombé dans les mains des investisseurs américains Tom Hicks et George Gillett alors qu'Aston Villa, West Ham et Portsmouth ont également été vendus à des investisseurs étrangers.

Premier ministre thaïlandais depuis 2001, Thaksin Shinawatra a été renversé par un coup d'Etat militaire le 19 septembre 2006 et vit depuis en exil en Grande-Bretagne. Accusé de corruption et de malversation, il a été inculpé jeudi dernier devant la Cour Suprême thaïlandaise.

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Luxottica: fusionne avec Oakley, opération à 2,1Mds$.

(Cercle Finance) - Le groupe optique italien Luxottica annonce sa fusion avec le fabricant américain de lunettes de soleil Oakley, pour un montant de 2,1 milliards de dollars.

Selon les termes de l'accord passé entre les deux groupes, Luxottica rachètera l'intégralité des actions Oakley en circulation, au prix unitaire de 29,30 dollars, soit avec une prime de 18 % sur le cours moyen de l'action Oakley au cours des trente derniers jours de bourse. Sur une période de trois mois, la prime est portée à environ 24 %.

La transaction est notamment soumise à l'aval des actionnaires d'Oakley et des autorités de la concurrence ; elle devrait voir le jour dans le courant du second semestre 2007 et permettre de réaliser quelque 100 millions d'euros de synergies annuelles au cours des trois prochaines années.

L'annonce est bien accueillie à la Bourse de Milan, où l'action Luxottica progresse actuellement de 4,6 % à 27,50 euros.

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France Télécom et un fonds d'investissement rachètent un opérateur autrichien pour 1,4 milliard d'euros

France Télécom met un pied en Autriche. Allié au fonds Mid Europa Partners, l'opérateur téléphonique français rachète One GmbH pour 1,4 milliard d'euros. Cette acquisition va permettre au groupe de poursuivre le développement de sa marque, Orange, en Europe de l'Ouest.

Le consortium formé par France Télécom et le fonds Mid Europa Partners annonce qu'il a été sélectionné comme acquéreur de 100% de l'opérateur mobile autrichien One GmbH. L'acquisition sera réalisée en numéraire sur la base d'une valeur d'entreprise d'environ 1,4 milliard d'euros.

La signature définitive de l'acquisition interviendra au plus tard à fin juin 2007, précise le consortium. Mais la réalisation de l'opération est encore soumise à l'approbation des autorités réglementaires qui devrait intervenir dans les prochaines semaines.

Pour France Télécom, cette acquisition est l'occasion de se renforcer sur le marché porteur de l'Europe occidentale et d'introduire sa marque phare, Orange, en Autriche. De plus, One détient 20% du marché autrichien, qui compte 8 millions de personnes.

"Le montant perçu par France Télécom au titre de la cession de sa participation actuelle de 17,45% dans la société et du remboursement de son prêt d'actionnaire sera partiellement réinvesti pour détenir 35% de la société, qui sera contrôlée par Mid Europa Partners, qui en détiendra 65%", poursuit le communiqué. L'opération n'entraînera pas de sortie de trésorerie pour France Télécom et n'aura pas d'impact sur ses objectifs de ratios d'endettement, ajoute-t-il.

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Nouvelle offre de rachat pour le groupe de presse Dow Jones

Le fondateur du site internet MySpace, Brad Greenspan, a proposé de racheter 25% du groupe Dow Jones, l'éditeur du Wall Street Journal, que veut aussi racheter Rupert Murdoch, et propose le même prix par action que le magnat de la presse.

Rupert Murdoch n'est plus le seul à convoiter Dow Jones. Brad Greenspan, le fondateur de MySpace, envisage de prendre 25% du capital du groupe de presse avec l'aide d'un consortium baptisé Journal Investment Group, qui cherche "à prendre une participation minoritaire dans Dow Jones". Brad Greenspan jette ainsi un pavé dans la mare en promettant le même prix que M. Murdoch: 60 dollars par action à tout actionnaire qui souhaite vendre.

Cette proposition constitue la première offre ferme depuis celle de Rupert Murdoch, qui a mis 5 milliards de dollars sur la table pour prendre le contrôle de la totalité du groupe le 1er mai.
Ce n'est pas la première fois que Brad Greebspan affronte Rupert Murdoch. Déjà en 2005, il s'était opposé au rachat de son site Internet par le propriétaire de News Corp.

Cette offre est "une alternative attrayante aux options actuelles", a déclaré Brad Greenspan.
Il se propose de dépenser 1,25 milliard de dollars en s'arrêtant quand il aura acquis environ 25% des titres, donc sans lancer d'OPA.

Cette nouvelle offre intervient alors que selon le Wall Street Journal, le conseil d'administration de Dow Jones a décidé mercredi de prendre en main les négociations sur l'avenir du groupe, frustré de voir la famille Bancroft, qui contrôle Dow Jones, traîner les pieds dans ses négociations avec News Corp. Ce rebondissement devrait accélérer une éventuelle vente et illustre les divergences croissantes entre les membres de la famille Bancroft et l'entreprise qu'elle contrôle, selon le journal.

latribune.fr

mercredi 20 juin 2007

ATS Medical Ups Outlook on Acquisition

Tuesday June 19, 7:10 pm ET

ATS Medical Raises Full-Year Guidance on $28M Acquisition of CryoCath Business MINNEAPOLIS (AP) -- ATS Medical Inc., which makes products used in cardiac surgery, said Tuesday it will acquire a division of CryoCath Technologies Inc. and has raised its full-year revenue outlook.

ATS Medical will acquire Canada-based CryoCath's surgical cryoablation business for about $28 million, which includes a group of products designed to use extreme cold to destroy diseased tissue.

The purchase price includes a $22 million payment and the transaction's close, $2 million after certain manufacturing goals are met, and up to $4 million in payments based on future sales of certain products.

As a result of the deal, ATS Medical said it is increasing its full-year 2007 revenue forecast to $49 million to $51 million, from a previously announced range of $46 million to $47 million. Analysts expect 2007 revenue of $46.4 million, according to a poll by Thomson Financial.

The company also said it expects 2008 revenue of $65 million to $70 million. Analysts polled by Thomson Financial estimate revenue of $57.5 million.

The transaction will allow the company to attain profitability in the second half of 2008, which is ahead of forecasts, the company said. Analysts expect the company to lose 34 cents a share in 2007 and 18 cents a share in 2008, according to Thomson Financial.

The acquisition is expected to close within 10 days, and will be financed with a $8.6 million senior secured term loan and a private placement of 9.8 million shares of common stock $1.65 per share to venture capital firm Alta Partners. Alta will also receive a warrant to purchase 1.96 million shares of ATS common stock at $1.65 per share.

When the deal closes, ATS will have about 59.1 million common shares outstanding.

Exec: Deutsche Bank Plans Europe Purchase

Wednesday June 20, 5:26 am ET

Exec: Deutsche Bank Planning Central European Purchase for Global Transaction Biz FRANKFURT, Germany (AP) --
Deutsche Bank AG, Germany's biggest bank, is planning on an acquisition in central Europe to complement its global transaction business, the group's global banking business head said Wednesday.

"We are looking geographically within Europe," Michael Cohrs said on the sidelines of a conference in Frankfurt. "I don't want to give details because the deal that we are working on will be announced relatively quickly. But, we are trying to think of about where we have a footprint in Europe, where we need to add to that. Central Europe is of particular interest to us."

Cohrs said the deal would be relatively small, less than euro500 million (US$670 million).

The bank has previously indicated it wants to do bolt-on acquisitions in transaction banking, and Cohrs said he is looking at two types of businesses.

One option would be to buy an existing transaction-banking business from a bank which wants to exit the sector. That would let the bank take those existing clients on to Deutsche Bank's information technology platform and develop new relationships with them.

Another option is businesses that would expand Deutsche Bank's product offerings with "new products and new geographies," Cohrs said.

He also said that Asia would play a major role for the bank.

"Both in Corporate Finance and in GTB (global transaction banking), we are expanding in Asia," he said.

http://www.db.com

PetroChina to Sell 4B Shares in Shanghai

Wednesday June 20, 5:27 am ET

PetroChina Plans Sale of 4 Billion Shares in Shanghai Public Offering HONG KONG (AP) --

PetroChina Co., a listed unit of state-owned China National Petroleum Corp., said Wednesday it plans to sell up to 4 billion yuan-denominated A shares in a public offering in Shanghai to raise money for exploration and development, construction of a refinery and overseas acquisitions.

PetroChina, which is listed in Hong Kong and has American Depositary Receipts that trade in New York, did not disclose a target price for its share sale in Shanghai.

Using PetroChina's closing price of shares listed in Hong Kong Wednesday, the Shanghai stock sale would be valued at up to US$6 billion (euro4.5 billion).

"Generally, the H-shares in Hong Kong have been a good guideline for the Shanghai A shares," said Garry Evans, an equity strategist with HSBC Securities Inc. in Hong Kong. H-shares are the Hong Kong-listed shares of China-based companies.

Other Chinese state companies in Hong Kong have recently applied to list in Shanghai, including China Cosco Holdings Ltd., which announced Tuesday that it had raised 15.13 billion yuan (US$1.99 billion; euro1.48 billion) in a share offering ahead of a June 26 listing on the Shanghai Stock Exchange.

Last Friday, China Construction Bank Corp., one of China's Big Four state-owned banks, said it will seek shareholder approval and regulatory clearance to sell up to 9 billion A shares in Shanghai.

PetroChina said in a statement to the Hong Kong Exchange it will use money from the Shanghai sale for "exploration and development of our domestic petroleum and gas resources; the construction of our large-scale refinery, petrochemical and gas pipeline projects; and the acquisition of overseas petroleum and gas resources."

In May, PetroChina announced the discovery of proved reserves of 516 million metric tons, or 3.72 billion barrels of oil equivalent, of crude oil and natural gas in China's Bohai Bay. Along with probable and possible reserves of an additional 500 million metric tons, or 3.6 billion barrels, of crude oil, the company said it was the biggest petroleum discovery in China in more than 30 years.

PetroChina shares rose 5.2 percent to HK$11.74 Wednesday in Hong Kong.